Notre objectif est de valoriser la différence culturelle individuelle par le biais de la pratique artistique.

Mémoire de l’avenir, association loi 1901, a été créée à Paris en mai 2003 par Margalit Berriet, artiste plasticienne.

Engagée dans la lutte contre les discriminations et persuadée que l’art et la culture peuvent apporter une meilleure connaissance de soi et des autres pour l’épanouissement de chacun, Margalit Berriet, après un temps de recherche et d’expérimentation, a fondé l’association Mémoire de l’Avenir en 2003.

Mémoire de l’Avenir réunit aujourd’hui de nombreux artistes utilisant l’art comme moyen d’expression pour aborder des thématiques liées à l’identité, la mémoire, les origines. Son but est de faciliter la connaissance de soi, l’expression de l’imagination, transmettre un message d’ouverture et d’acceptation des différences pour s’enrichir de la diversité des cultures.

L’association intervient au niveau national et international auprès d’un large public pour ouvrir au dialogue interculturel et découvrir la richesse qui émane du (mé)tissage humain.
Nous partons du constat que de nombreuses personnes ont peu l’occasion de s’exprimer sur les questions d’identité, de mémoire mais aussi de stéréotypes et ont de fait une méconnaissance de la culture d’autrui. Or elles sont quotidiennement confrontées à ces problématiques de manière fondamentale.

Notre programme d’actions au cours duquel chacun peut libérer ses émotions oralement et artistiquement, ambitionne d’éveiller la curiosité au profit d’une connaissance sensible et de favoriser un mode de communication transversal, qui soit à la fois constructif et créatif. Nos dispositifs se fondent sur l’identification des éléments culturels universels, à partir desquels les divergences, convergences, apports mutuels et modes de diffusion sont étudiés.

Depuis 2001

1500 collaborating artists and mediators
200 researchers and academics
200 artistic events
5 issues of HAS MAG
80,000 people reached

Pour les anciens Grecs le « symbole » était un signe de reconnaissance, à l’origine, un simple objet coupé en deux dont deux hôtes conservaient chacun une moitié qu’ils transmettaient à leurs enfants. Ces deux parties rapprochées servaient à faire reconnaître les porteurs et à prouver que des relations d’hospitalité avaient été contractées antérieurement. (Source : Anatole Bailly)

L’étymologie du terme évoque l’idée de rencontre, de reconnaissance… entre les hommes et les cultures. Tels sont les objectifs de Mémoire de l’Avenir.